Et à l’heure blême où l’on commémore la chute du mur teuton nous parvient cette archive ( source amateur) sur laquelle apparaît l’entrepreneur peu scrupuleux dont la désastreuse négligence aura causé la perte d’un édifice d’une importance capitale pour l’Allemagne. Cette image montre clairement la sauvagerie mesquine avec laquelle le dénommé Seize poussait sur le mur fraîchement érigé en ruminant ses funestes desseins. Berlin a of course demandé ipso facto l’extradition. Ailleurs, on psalmodie… L’ombre d’un nouveau Nuremberg semblerait planer sur le Saint-Siège.
Austère, avec un manque absolu de déférence qui friserait la fronde la plus audacieuse, le prévenu, a déclaré : » Aucune lamentation à faire »…
Et on le laisse libre de nuire, cet enculé de merde fachiste.
Y a pas de justice.